À un certain moment dans notre vie, on a besoin de changement. Il arrive souvent que nous ne sommes plus heureux voir même souffrant de nos relations. C’est pour ça que l’on a l’élan de consulter parce qu’on est dans un espace difficile mais aussi insatisfaisant. Pour rependre la métaphore de la marche, on a marché d’une manière pendant quelques années et puis un moment, ça ne nous convient plus … peut-être que cette posture a fini par nous créer des douleurs. C’est le moment de prendre un temps d’arrêt pour faire le point et comprendre voir même envisager de marcher autrement.
C’est possible de changer ce qui ne nous convient plus un pas à la fois, un orteil à la fois, s’il le faut. Ça prend un espace relationnel professionnel sécurisant, sans jugement. Un professionnel qui nous permet de s’exprimer, d’être écouté et entendu. C’est facilitant de parler à une personne que l’on ne connait pas et qui n’a pas de parti pris. Aussi, on vient chercher un moment pour soi, pour s’arrêter à soi et pour se comprendre afin de créer ou recréer sa relation à soi.
Pour apprendre ou réapprendre à se comprendre et faire le point en prenant un temps pour soi pour faire une pause de son quotidien dans un espace thérapeutique ce qui favorise la perspective.
On se lance dans la thérapie parce qu’on veut sortir de ses patterns.
Il faut prendre en compte que ça prend du temps. Comme si on apprenait à marcher de façon différente. Ça ne veut pas forcément dire que ce sera long, ça dépend de chacun. C’est s’accorder une heure accompagnée ce qui permet de sortir de l’isolement.
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La thérapie individuelle est un moyen pour arriver à plus de satisfaction relationnelle. Par l’expérimentation encadrée de la communication intime dans une situation relationnelle, dans un espace sécuritaire, vous pourrez expérimenter l’écoute de soi dans l’espace délicat de l’être.
Je me suis beaucoup penchée sur le système relationnel abandonnique/déserteur (suis-moi, je te suis. Suis-moi, je te suis.) Quand on s’oublie pour l’autre, jusqu’à s’y perdre. Le sentiment d’impuissance et son impact relationnel souffrant. Ça nous demande notre attention, c’est terrain glissant.
Le regard acerbe du jugement qu’on se porte (banalisation, comparaison, etc … ).